Bonjour à tous,
Est-ce que certains parmi vous ont en main la brochure publiée en 2006 par " The Charlton Press ", intitulée : " Dominion of Canada - Die Varieties of Edward VII and Georges V - Large Cents " de l'auteur Jack Morris
Les photos sont XXX et la présentation est soignée, mais je ne comprends pas que, pour une même date ( ex. 1909 ), les différentes variétés que l'on identifie avec des degrés de rareté différents ( ex. 3, 4, 5, et 6 ) soient toutes listées au même prix : VF = $ 6.00 , AU = $ 20 et MS-63 = $ 110 .
Cette façon de procéder est sensiblement la même pour toutes les cents présentées dans cette publication, soit de 1902 à 1920
Si l'information est suffisante pour attribuer un degré de rareté à une variété, pourquoi ne pas lui attribuer une valeur
Cette " hésitation " à attribuer un prix en fonction de la rareté, pour des pièces centenaires, me laisse songeur
Quelqu'un peut-il m'expliquer les motivations de cette approche ( on semble trop frileux pour plonger ) qui , par son extrême prudence, enlève beaucoup d'intérêt à cette publication
" Die Variety "
Bonjour za75. Content de voir que tu as repris du mieux.
J'ai le monogramme No. 3 en question et j'apporte une petite correction a ton intervention. L'auteur est Jack Griffin.
J'ai aussi remarqué les similarités dans les prix publiés mais je ne pourrais pas expliquer ce fait. Au mieux, je pourrais avancer mes hypothèses.
Bill Cross, l'éditeur, a repris les travaux de M. Griffin qui dataient, je crois, de 1952. A cette époque, je présume qu'il n'y avait pas une grosse demande pour les différentes variées donc qu'une pièce soit de rareté 3, 4, 5 ou 6 n'influençait pas nécessairement les prix comme t'el. Elle se transigeait comme une pièce de XXXX date. C'était plutôt un exercice pour documenter la rareté de certaines pièces vis-à-vis d'autres. En plus, a cette époque, des travaux comme celui-ci n'etaient connus que par très peu de personnes, donc, un minimum de copies de publiées (Je pense notamment aux travaux de Zoell qui sont tres difficiles a trouver aujourd'hui).
Lorsque M. Cross a repris les travaux il doit avoir modifié les tableaux de prix pour miroiter les valeurs d'aujourd'hui mais pas nécessairement changer la formule. Il ne faut pas oublier que ces monogrammes sont des travaux de M. Griffin qui ont été repris.
Et même maintenant, les variées sont encore peu connues mais commencent a gagner du terrain grâce a la facilite d’obtenir de l’information sur l’internet et aux publications comme celui dont on parle.
J'ai le monogramme No. 3 en question et j'apporte une petite correction a ton intervention. L'auteur est Jack Griffin.
J'ai aussi remarqué les similarités dans les prix publiés mais je ne pourrais pas expliquer ce fait. Au mieux, je pourrais avancer mes hypothèses.
Bill Cross, l'éditeur, a repris les travaux de M. Griffin qui dataient, je crois, de 1952. A cette époque, je présume qu'il n'y avait pas une grosse demande pour les différentes variées donc qu'une pièce soit de rareté 3, 4, 5 ou 6 n'influençait pas nécessairement les prix comme t'el. Elle se transigeait comme une pièce de XXXX date. C'était plutôt un exercice pour documenter la rareté de certaines pièces vis-à-vis d'autres. En plus, a cette époque, des travaux comme celui-ci n'etaient connus que par très peu de personnes, donc, un minimum de copies de publiées (Je pense notamment aux travaux de Zoell qui sont tres difficiles a trouver aujourd'hui).
Lorsque M. Cross a repris les travaux il doit avoir modifié les tableaux de prix pour miroiter les valeurs d'aujourd'hui mais pas nécessairement changer la formule. Il ne faut pas oublier que ces monogrammes sont des travaux de M. Griffin qui ont été repris.
Et même maintenant, les variées sont encore peu connues mais commencent a gagner du terrain grâce a la facilite d’obtenir de l’information sur l’internet et aux publications comme celui dont on parle.
Je vais dans le même sens que Kevin. J'ai le livre de M. Griffin et je crois que les variétés (et rareté) des pièces sont toujours présente et demeurent un fait indéniable malgré les années entre cette publication (les premiers travaux) et aujourd'hui. Je consulte cette monographie en fonction du côté technique des variétés pour l'instant. Par contre, je crois qu'une actualisation des fréquences des variétés pour une même année versus la demande ( et prix) de nos jours pour certaines d'entre elles serait une chose à regarder avec l'essors des variétés. À mon avis, cette actualisation touche par le biais les travaux de Zoell indirectement.
On s'en reparle, je dois me sauver faire des commissions avec ma blonde!
On s'en reparle, je dois me sauver faire des commissions avec ma blonde!
Bonsoir,
Merci Kevin pour les corrections et pour les hypothèses que tu apportes
Mais, mis à part les photos qui, il faut en convenir, sont fort bien réussies, je considère qu'entre 1952 et aujourd'hui ( 2007 ), tout le monde a fait du surplace en ce qui concerne l'évaluation, par un prix équitable, de la rareté de ces différentes variétés
Les hypothèses pour expliquer ce surplace ont déjà été évoquées sur ce forum, mais ni les miennes, ni celles de d'autres membres ne peuvent justifier cette situation
Merci Kevin pour les corrections et pour les hypothèses que tu apportes
Mais, mis à part les photos qui, il faut en convenir, sont fort bien réussies, je considère qu'entre 1952 et aujourd'hui ( 2007 ), tout le monde a fait du surplace en ce qui concerne l'évaluation, par un prix équitable, de la rareté de ces différentes variétés
Les hypothèses pour expliquer ce surplace ont déjà été évoquées sur ce forum, mais ni les miennes, ni celles de d'autres membres ne peuvent justifier cette situation
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