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Une brève présentation en ce début de semaine avec une nouvelle variété, laquelle peut demander un peu de patience à obtenir, quoique celle-ci reste commune.

Ainsi, ce défaut se retrouve sur l'avers de l'émission du 1/2 Penny 1857 (Breton #720 / PC-5D), plus précisément au niveau du cheval près de la jambe de St-Georges. Il s'agit selon toute vraisemblance d'éclats de coin.

À noter que l'avers sur lequel se trouve cette erreur est jumelé avec un minimum de deux revers différents (Courteau #164UC et #165UC).

Note: Cette variété, comme les précédentes, sera présentée dans mon ouvrage en préparation.

Une autre nouvelle variété cette semaine, laquelle cette fois-ci demande beaucoup plus de recherche et de patience à obtenir, et qui personnellement est un de mes coups de coeur.

Ainsi, ce défaut se retrouve sur le revers de l'émission du 1 Penny 1852 - Large «2» de la Royal Mint (Breton #719 / PC-6B2). Sur ce revers en question, on retrouve la lettre «E» dans le mot «tokEn» frappée par-dessus la lettre «K». À ce jour, je ne connais aucun autre exemple d'un tel type d'erreur pour la série de jetons traitée ici.

Note: Cette variété, comme les précédentes, sera présentée dans mon ouvrage en préparation.

Je ne pensais pas de mon vivant voir une vente de collection de jetons coloniaux canadiens dépassant en qualité et prestige celle qu'avait amassée John J. Ford, mais c'est bel et bien le cas avec la collection de Doug Robins qui sera en vente en avril prochain lors de l'enchère «Chicago Coin Expo World Coins Signature Auction» organisée Heritage Auctions.

Même Haxby décrit cette collection comme étant «Sale of the century for Canadian tokens» et dépassant celle amassée par le Musée de la Banque du Canada à plusieurs niveaux, et je dois dire que je partage en partie son avis. Il y a vraiment de magnifiques jetons, plusieurs spécimens uniques, voire les plus beaux exemplaires connus à ce jour.

Bref, après avoir jeter un coup d'oeil sur près d'un millier de jetons coloniaux qui compose cette collection, j'ai toujours le même sentiment après l'émerveillement, pas celui de la jalousie, mais plutôt un de découragement, soit celui de ne jamais pouvoir acquérir une telle concentration de merveilles, à moins d'avoir plusieurs centaines de milliers de dollars, voire plusieurs millions, à investir dans le domaine.

Juste à titre d'exemple, il y a quelques jetons qui probablement dépasseront aisément les 40 000$, voire 60 000$ US. Par exemple pour l'unique exemplaire connu du «NB-5», voire aussi pour l'illustre «Bon pour deux sous», qui est le seul exemplaire de deux connus à ne pas être en possession d'un Musée, qui plus ait, est moins usé que celui que possède le Musée de la Banque du Canada.

Je trouve cependant vraiment dommage que la plupart des jetons aient été gradés et certifiés par «NGC», alors que cette compagnie n'a absolument aucune compétence digne de ce nom pour la gradation de ce type de pièce.

Pour en revenir à la série de jetons dont est question ce sujet, il y a près d'une dizaine d'exemplaires «Proof», plus de 4 jetons avec effets miroir complet (2 x PC-5B et 2 x PC-6B), en plus d'une quinzaine d'autres jetons de grade incirculé. J'ai pu retracer le pedigree pour certains d'entre-eux, lesquels n'ont pas été sur le marché depuis près de 50 ans. Bref, plusieurs pièces m'étaient complètement inconnues, et je suis heureux d'en avoir connaissance pendant la préparation de mon bouquin sur le sujet.

Au final, pour le plaisir des yeux, voici quelques exemples:

ainsivalavie a écrit :Je ne pensais pas de mon vivant voir une vente de collection de jetons coloniaux canadiens dépassant en qualité et prestige celle qu'avait amassée John J. Ford, mais c'est bel et bien le cas avec la collection de Doug Robins qui sera en vente en avril prochain lors de l'enchère «Chicago Coin Expo World Coins Signature Auction» organisée Heritage Auctions.

Même Haxby décrit cette collection comme étant «Sale of the century for Canadian tokens» et dépassant celle amassée par le Musée de la Banque du Canada à plusieurs niveaux, et je dois dire que je partage en partie son avis. Il y a vraiment de magnifiques jetons, plusieurs spécimens uniques, voire les plus beaux exemplaires connus à ce jour.

Bref, après avoir jeter un coup d'oeil sur près d'un millier de jetons coloniaux qui compose cette collection, j'ai toujours le même sentiment après l'émerveillement, pas celui de la jalousie, mais plutôt un de découragement, soit celui de ne jamais pouvoir acquérir une telle concentration de merveilles, à moins d'avoir plusieurs centaines de milliers de dollars, voire plusieurs millions, à investir dans le domaine.

Pour le plaisir des yeux......

ainsivalavie a écrit :Je trouve cependant vraiment dommage que la plupart des jetons aient été gradés et certifiés par «NGC», alors que cette compagnie n'a absolument aucune compétence digne de ce nom pour la gradation de ce type de pièce.

Personnellement, cette certification n'a davantage que de pouvoir identifier la collection de provenance car pour le grade ........

Je crois que les mises seront en fonction de la pièce et non du grade attribué.

sysec a écrit :

ainsivalavie a écrit :Je trouve cependant vraiment dommage que la plupart des jetons aient été gradés et certifiés par «NGC», alors que cette compagnie n'a absolument aucune compétence digne de ce nom pour la gradation de ce type de pièce.

Personnellement, cette certification n'a davantage que de pouvoir identifier la collection de provenance car pour le grade ........

Je crois que les mises seront en fonction de la pièce et non du grade attribué.

Le problème ici ce n'est pas seulement le grade, mais aussi le type de finition. Concernant la présente série sur les jetons St-Georges, NGC a certifié 5 pièces de type «Proof», lesquelles semblent en effet être de ce type de finition, mais aussi 5 autres pièces de type «Specimen». Je serais curieux de connaître la distinction pour NGC entre le fini «Proof» et «Specimen» sur cette série de jetons.

Car après avoir étudié les images des pièces en question, il en a 3 que je classerais probablement comme «Proof», et les 2 autres me font pencher davantage vers des pièces pour la circulation. Et ce n'est qu'un exemple parmi plusieurs autres.

De plus, le fait d'identifier la provenance d'une pièce n'est pas l'apanage de NGC. Je crois plutôt que le choix de NGC est dû à un partenariat d'affaire entre Heritage Auctions et NGC, lequel ici n'était vraiment pas approprié.

Présentation d'une autre nouvelle variété, laquelle cette fois-ci demande quelques recherches, mais demeure tout de même accessible. Le Dr. Courteau évalue le coin utilisé pour cette variété avec un indice de rareté de 5 sur 10.

La pièce en question, soit un jeton de 1 Penny 1852 - Large «2» de la Royal Mint (Alignement de type Médaille) (Breton #719 / PC-6B2) regroupe un grand nombre de défauts, en particulier un qui est sans doute à classer dans les bizarries.

Ainsi, au revers, on retrouve en dessous de la lettre «B» du mot «Bank» ce qui semble être une refrappe partielle très décalée de la dite lettre.

De plus, toujours au revers, on retrouve parfois plusieurs fendillement pouvant s'avérer très important.




Sur l'avers de la présente pièce, on retrouve entre autres un doublement important de la date.

Vous avez une telle pièce? N'hésitez pas à publier des photos.


Note: Cette variété, comme les précédentes, sera présentée dans mon ouvrage en préparation.

Ce matin, présentation de quelques petites quelques erreurs en vrac:

Lettre défectueuse («Upper») sur l'avers d'un Half Penny 1850 (Courteau #032):







Une autre lettre défectueuse («oF»), cette fois-ci encore sur l'avers d'un Half Penny 1850, en plus d'avoir un fendillement assez visible (Courteau #067):






Un bel éclat de coin sur le tomahawk au revers de ce Half Penny de 1854 (Courteau #132):



Sur ce Half Penny 1857, vous remarquerez que les "petites boules" d'ornement ne sont pas reliées aux cornes d'abondance (Courteau #186):



Et terminons avec un fendillement, qui parfois sur cette série de jetons peut se déclarer à des endroits un peu moins évidents que la norme. Ici un 1 Penny 1852 - Large «2» frappé par Heaton Mint (PC-6B5) (Courteau #248):

J'ai pratiquement terminé un ouvrage qui consiste en une reproduction du livre d'Eugène Gaspard Courteau publié en 1934 et intitulé «The St. George Copper Tokens of the Bank of Upper Canada», lequel a été amélioré avec des dizaines de photos, des textes plus clairs, des corrections et ajouts divers, ainsi que diverses autres améliorations rendant le tout un peu plus aisé à comprendre. Il demeure cependant en anglais.

Ainsi, le livre sera relié avec une reliure de type spirale (Comme les catalogues Charlton), et devrait sans doute comporter entre 80 et 90 pages (Alors que l'oeuvre originale de Courteau se concentre en 32 pages), et devrait être complètement terminé et prêt à être envoyé au cours du prochain mois.

La mise en page n'est pas définitive pour le moment, mais pour vous donner une petite idée du contenu, voici 2 pages en exemple:

Je vais proposer celui-ci à la vente pour 25$ livraison incluse, ce qui je crois est relativement abordable. Donc, s'il y a des personnes intéressées, juste m'en faire part en privé pour que je puisse faire produire une quantité de livres ne dépassant pas trop les besoins réels. Ce n'est pas nécessaire d'effectuer le paiement maintenant. De plus, s'il y a des gens et/ou commerces intéressés à acquérir plusieurs exemplaires, nous pouvons nous entendre pour un prix réduit.

Ceci étant, je continu le travail sur mon ouvrage principal, lequel devrait cependant encore s'éterniser pour 1 ou 2 années, voire davantage, et qui a relativement peu à voir avec le présent ouvrage.

ainsivalavie a écrit :J'ai pratiquement terminé un ouvrage qui consiste en une reproduction du livre d'Eugène Gaspard Courteau publié en 1934 et intitulé «The St. George Copper Tokens of the Bank of Upper Canada», lequel a été amélioré avec des dizaines de photos, des textes plus clairs, des corrections et ajouts divers, ainsi que diverses autres améliorations rendant le tout un peu plus aisé à comprendre. Il demeure cependant en anglais.

Ainsi, le livre sera relié avec une reliure de type spirale (Comme les catalogues Charlton), et devrait sans doute comporter entre 80 et 90 pages (Alors que l'oeuvre originale de Courteau se concentre en 32 pages), et devrait être complètement terminé et prêt à être envoyé au cours du prochain mois.

Je vais proposer celui-ci à la vente pour 25$ livraison incluse, ce qui je crois est relativement abordable. Donc, s'il y a des personnes intéressées, juste m'en faire part en privé pour que je puisse faire produire une quantité de livres ne dépassant pas trop les besoins réels. Ce n'est pas nécessaire d'effectuer le paiement maintenant. De plus, s'il y a des gens et/ou commerces intéressés à acquérir plusieurs exemplaires, nous pouvons nous entendre pour un prix réduit.

Ceci étant, je continu le travail sur mon ouvrage principal, lequel devrait cependant encore s'éterniser pour 1 ou 2 années, voire davantage, et qui a relativement peu à voir avec le présent ouvrage.

Quelle sera la dimension des pages? Le type de papier pour l'impression?

sysec a écrit :Quelle sera la dimension des pages? Le type de papier pour l'impression?

C'est 2 questions qui restent à confirmer, mais pour le moment mon choix s'était arrêté sur du papier semi-rigide pour la couverture avec une feuille protectrice en mylar.

Pour les pages intérieures, probablement du papier blanc brillant 28lbs, question d'éviter autant que possible de voir le contenu imprimé de l'autre côté de la page.

Pour les dimensions, je crois que ça sera 7.5" en largeur x 10" en hauteur. Et dépendamment du nombre de copies "pré-commandées", il est possible que les illustrations soient en couleurs plutôt qu'en noir et blanc, mais ça reste une hypothèse pour le moment.

sysec a écrit :Quelle sera la dimension des pages?

Juste un petit sondage pour permettre de faire le meilleur choix. Ainsi, si vous aviez un choix à faire entre un livre à reliure spirale d'un format 7.5" x 10" ou alors 8.5" x 11", lequel préféreriez vous pour si les deux étaient le même prix de vente?
Car pour ce qui est des frais d'impression, ça revient pratiquement au même, donc je me questionne.

ainsivalavie a écrit :

sysec a écrit :Quelle sera la dimension des pages?

Juste un petit sondage pour permettre de faire le meilleur choix. Ainsi, si vous aviez un choix à faire entre un livre à reliure spirale d'un format 7.5" x 10" ou alors 8.5" x 11", lequel préféreriez vous pour si les deux étaient le même prix de vente?
Car pour ce qui est des frais d'impression, ça revient pratiquement au même, donc je me questionne.

moi pour ma part j'irais avec 8.5 x 11 parce que avec 7.5 x 10 avec la spirale tes images vont etre un petit peut plus petite d'apres moi.

magnifiques pièces !! je suis là rien que pour admirer !

ainsivalavie a écrit :

sysec a écrit :Quelle sera la dimension des pages?

Juste un petit sondage pour permettre de faire le meilleur choix. Ainsi, si vous aviez un choix à faire entre un livre à reliure spirale d'un format 7.5" x 10" ou alors 8.5" x 11", lequel préféreriez vous pour si les deux étaient le même prix de vente?
Car pour ce qui est des frais d'impression, ça revient pratiquement au même, donc je me questionne.

Juste un petit retour:
Après avoir eu quelques opinions sur le sujet, le livre sera finalement de format 8.5" x 11".

si les photos sont en couleur je suis intéressé même si pour ce faire je doit déboursé 5$ou 10$ supplémentaire

une photo vaux mille mots alors aussi bien quelle soit de belle qualité !!! ce n'est que mon opinion