Question aux représentants de CCCS.
Question aux représentants de CCCS.
La classification des jetons Coloniaaux.
Parmis les jetons que je vous ai fait gradés, deux pouvaient être fait de cuivre ou de laiton.
Portant les numéros de classement LC35A (A1 (en cuivre), A2 (en laiton)) et LC33A (A1 (en cuivre), A2 (en laiton)). En attribuant les numéro LC35A1 et LC33A1 vous avez jugé que ces jetons sont de cuivre (le laiton étant plus rare pour ces jetons et donc plus dispendieux en catalogue).
Ma question;
Par quel moyen avez-vous arrivé à cette conclusion?
Mes observations;
Sur les jetons de cuivre, la patine est très foncé et ressemble à la couleur du café noir, alors que les jetons de laiton ont une patine café crème. Cette méthode est-elle fiable?
Parmis les jetons que je vous ai fait gradés, deux pouvaient être fait de cuivre ou de laiton.
Portant les numéros de classement LC35A (A1 (en cuivre), A2 (en laiton)) et LC33A (A1 (en cuivre), A2 (en laiton)). En attribuant les numéro LC35A1 et LC33A1 vous avez jugé que ces jetons sont de cuivre (le laiton étant plus rare pour ces jetons et donc plus dispendieux en catalogue).
Ma question;
Par quel moyen avez-vous arrivé à cette conclusion?
Mes observations;
Sur les jetons de cuivre, la patine est très foncé et ressemble à la couleur du café noir, alors que les jetons de laiton ont une patine café crème. Cette méthode est-elle fiable?
Re: Question aux représentants de CCCS.
Salut papou4,
Bien que M. Chevrier soit membre du forum, je crois qu'il serait peut-être mieux de communiquer avec lui en privé plutôt que d'utiliser la place publique. Tu obtiendras surement plus de réponses à tes questions ainsi.
Bien que M. Chevrier soit membre du forum, je crois qu'il serait peut-être mieux de communiquer avec lui en privé plutôt que d'utiliser la place publique. Tu obtiendras surement plus de réponses à tes questions ainsi.
Re: Question aux représentants de CCCS.
Bonjour Jumpy,
Je ne crois pas être le seul intéressé par le sujet. Cette aspect a une grande importance vu la différence de prix au catalogue entre une pièce en cuivre et une au laiton. Ces alliages sont complexes, leur apparence n'est pas constante.
IL existe des analyseurs de métaux ( leur prix est très élevé) dont il n'est pas nécessaire de détruire la pièce. Donc si CCCS utilise l'une de ces appareils, il serait avantageux de nous le faire savoir.
Je ne crois pas être le seul intéressé par le sujet. Cette aspect a une grande importance vu la différence de prix au catalogue entre une pièce en cuivre et une au laiton. Ces alliages sont complexes, leur apparence n'est pas constante.
IL existe des analyseurs de métaux ( leur prix est très élevé) dont il n'est pas nécessaire de détruire la pièce. Donc si CCCS utilise l'une de ces appareils, il serait avantageux de nous le faire savoir.
Re: Question aux représentants de CCCS.
La question est très pertinente pour toutes les raisons que tu mets de l'avant. J'ai seulement émis l'idée selon laquelle tu obtiendras plus de réponses en t'adressant directement à monsieur Chevrier.
Je suis certain que beaucoup de gens seront intéressés par les réponses que tu vas obtenir.
Je suis certain que beaucoup de gens seront intéressés par les réponses que tu vas obtenir.
Re: Question aux représentants de CCCS.
Bonjour Papou4,
Je vous suggère de faire valider ou invalider le métal de ces pièces par une tierce partie : pourquoi pas par Hydro Québec ?
D'autre part, je tiens à ajouter que la réputation de CCCS, pour la gradation des pièces canadiennes, n'est plus à faire : ceci inclut aussi l'identification et la gradation des erreurs et variétés où cette firme se situe bien en avant des autres firmes.
Je vous suggère de faire valider ou invalider le métal de ces pièces par une tierce partie : pourquoi pas par Hydro Québec ?
D'autre part, je tiens à ajouter que la réputation de CCCS, pour la gradation des pièces canadiennes, n'est plus à faire : ceci inclut aussi l'identification et la gradation des erreurs et variétés où cette firme se situe bien en avant des autres firmes.
Re: Question aux représentants de CCCS.
Bonsoir,
Sans offense à tous, la question de Papou4 est légitime: Comment faites-vous pour identifier le bronze et le laiton? La réponse, qu'elle soit privée ou publique, doit être légitime aussi sinon elle ne vaut rien. N'ayant jamais fait affaire avec un spécialiste en certification de monnaies, je ne peux juger. La réputation de certains est irréprochable alors que d'autres sont inégaux au fil du temps. Le jour que je ferai certifier une pièce, ce sera pour une expertise que je n'ai pas. Et quand je le ferai, je n'hésiterai pas à confier une pièce à CCCS.
Au delà du grade pour lequel nous avons toujours le droit d'être en désaccord, la certification permet aussi d'identifier avec exactitude une pièce ou une variété de celle-ci. Quand on tombe dans la zone limite du laiton et du bronze, c'est carrément de la métallurgie. À moins d'avoir accès à une telle analyse des métaux, je ferai confiance à l'organisation qui certifie la pièce.
Dan
Sans offense à tous, la question de Papou4 est légitime: Comment faites-vous pour identifier le bronze et le laiton? La réponse, qu'elle soit privée ou publique, doit être légitime aussi sinon elle ne vaut rien. N'ayant jamais fait affaire avec un spécialiste en certification de monnaies, je ne peux juger. La réputation de certains est irréprochable alors que d'autres sont inégaux au fil du temps. Le jour que je ferai certifier une pièce, ce sera pour une expertise que je n'ai pas. Et quand je le ferai, je n'hésiterai pas à confier une pièce à CCCS.
Au delà du grade pour lequel nous avons toujours le droit d'être en désaccord, la certification permet aussi d'identifier avec exactitude une pièce ou une variété de celle-ci. Quand on tombe dans la zone limite du laiton et du bronze, c'est carrément de la métallurgie. À moins d'avoir accès à une telle analyse des métaux, je ferai confiance à l'organisation qui certifie la pièce.
Dan
Une pièce non identifiée n'est qu'un morceau de métal. Une pièce identifiée est un morceau d'histoire.
Membre #13 du CMLRN.
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Re: Question aux représentants de CCCS.
Au responsable CCCS,
S'il ne vous est pas possible de certifier l'aspect métallurgique d'un jeton, il suffit de les identifier avec un numéro reduit.
Exemple (deux cas ci-haut cités) LC33A et LC35A. Cette imprécision serait plus justifiable qu'un choix à l'aveugle.
S'il ne vous est pas possible de certifier l'aspect métallurgique d'un jeton, il suffit de les identifier avec un numéro reduit.
Exemple (deux cas ci-haut cités) LC33A et LC35A. Cette imprécision serait plus justifiable qu'un choix à l'aveugle.
Re: Question aux représentants de CCCS.
Au responsable CCCS,
S'il ne vous est pas possible de certifier l'aspect métallurgique d'un jeton, il suffit de les identifier avec un numéro reduit.
Exemple (deux cas ci-haut cités) LC33A et LC35A. Cette imprécision serait plus justifiable qu'un choix à l'aveugle.
S'il ne vous est pas possible de certifier l'aspect métallurgique d'un jeton, il suffit de les identifier avec un numéro reduit.
Exemple (deux cas ci-haut cités) LC33A et LC35A. Cette imprécision serait plus justifiable qu'un choix à l'aveugle.
- Chemicalpete
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Re: Question aux représentants de CCCS.
za75 a écrit :Bonjour Papou4,
Je vous suggère de faire valider ou invalider le métal de ces pièces par une tierce partie : pourquoi pas par Hydro Québec ?
D'autre part, je tiens à ajouter que la réputation de CCCS, pour la gradation des pièces canadiennes, n'est plus à faire : ceci inclut aussi l'identification et la gradation des erreurs et variétés où cette firme se situe bien en avant des autres firmes.
Je ne crois pas qu'Hydro-Québec comme telle soit spécialement qualifiée pour analyser des métaux par XRF (fluorescence-X qui est une technique d'analyse non-destructive). Ce n'est probablement que via un des laboratoire de recherche (probablement celui de Varennes) que c'est PEUT-ÊTRE possible techniquement. Mais ce laboratoire n'est pas un service public, donc inaccessible pour M. Tout-le-monde. Cela m'étonnerait qu'ils offrent des analyses pour le public.
Il y a les entreprises métallurgiques (alumineries, aciérie, etc) qui ont font ce genre d'analyses quotidiennement mais encore, ce n'est un service public.
À moins de connaître quelqu'un qui a accès à un appareil d'analyse métallurgique par XRF dans un cégep ou une université et qui peut passer l'échantillon parmi d'autres, ou voir peut-être dans une grosse cour à scrap (où ils peuvent avoir un appareil XRF portatif pour identifier rapidement des lots de métaux). il ne reste qu'à aller du côté des laboratoires d'analyses privé, mais il y a un coût $. Je ne connais pas le barème de prix, mais je ne m'attends à rien en bas de 20 à 25$ par échantillon. Il faut donc que cela en vaille la peine.
Re: Question aux représentants de CCCS.
Jumpy a écrit :Salut papou4,
Bien que M. Chevrier soit membre du forum, je crois qu'il serait peut-être mieux de communiquer avec lui en privé plutôt que d'utiliser la place publique. Tu obtiendras surement plus de réponses à tes questions ainsi.
Effectivement, il semble que je n'obtiendrai pas d'explication. C'est dommage
- ainsivalavie
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Re: Question aux représentants de CCCS.
Dans un monde parfait, il est évident que ce type d'analyse systématique serait l'idéal, mais bon...
Sinon, d'après mon expérience, une pièce en brass est facilement reconnaissable. Le problème, c'est plutôt les pièces en cuivre/bronze ayant une teinte se rapprochant du brass. Donc, à moins que ladite pièce ait justement cette teinte caractéristique, je ne vois pas pourquoi une compagnie, ne possédant pas elle-même d'appareil de détection, devrait analyser chacune des pièces, ayant l'allure de pièce en Cuivre/Bronze, qui lui sont soumises.
Sans compter que c'est d'autant plus difficile à juger, qu'à ma connaissance il n'y a pas de barème précis pour les jetons coloniaux à partir de quel pourcentage les éléments qui composent une pièce doivent être considérés comme étant en Brass VS Cuivre.
Sinon, d'après mon expérience, une pièce en brass est facilement reconnaissable. Le problème, c'est plutôt les pièces en cuivre/bronze ayant une teinte se rapprochant du brass. Donc, à moins que ladite pièce ait justement cette teinte caractéristique, je ne vois pas pourquoi une compagnie, ne possédant pas elle-même d'appareil de détection, devrait analyser chacune des pièces, ayant l'allure de pièce en Cuivre/Bronze, qui lui sont soumises.
Sans compter que c'est d'autant plus difficile à juger, qu'à ma connaissance il n'y a pas de barème précis pour les jetons coloniaux à partir de quel pourcentage les éléments qui composent une pièce doivent être considérés comme étant en Brass VS Cuivre.
Ce ne sont pas les années de vie qui comptent, mais la vie qu’il y a dans ces années.
Re: Question aux représentants de CCCS.
Dans mon présentoire je possède près de 40 jetons imitation Tiffin (LC48B & C) et une autre série de 40 jetons "Bust and Harp imitation" plus de 70% de ces jetons sont en laiton (selon les catalogues).
À part 4 ou 5 jetons qui ont un fini "or", c'est la patine qui rend la catégorisation trompeuse.
J'y ai passé plusieurs heures, mais je ne pourrais pas convaincre un panel de 12 jurys.
À part 4 ou 5 jetons qui ont un fini "or", c'est la patine qui rend la catégorisation trompeuse.
J'y ai passé plusieurs heures, mais je ne pourrais pas convaincre un panel de 12 jurys.
- ainsivalavie
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Re: Question aux représentants de CCCS.
Papou4 a écrit :Dans mon présentoire je possède près de 40 jetons imitation Tiffin (LC48B & C) et une autre série de 40 jetons "Bust and Harp imitation" plus de 70% de ces jetons sont en laiton (selon les catalogues).
À part 4 ou 5 jetons qui ont un fini "or", c'est la patine qui rend la catégorisation trompeuse.
J'y ai passé plusieurs heures, mais je ne pourrais pas convaincre un panel de 12 jurys.
Il reste toujours la possibilité de faire une micro-éraflure sur la tranche pour examiner ce qui se cache en dessous de la patine. Personnellement, c'est une des techniques que je privilégie, et qui sont tout de même d'une bonne efficacité dans plusieurs des cas douteux.
Ce ne sont pas les années de vie qui comptent, mais la vie qu’il y a dans ces années.
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