Bonsoir
J’ai prit plus de temps parce que tant qu’à expliquer les deux pièces avec défauts de ce message, j’ai trouvé utile d’aller plus loin que seulement ceux-ci.
J’avais déjà mit beaucoup d’explications dans le lien suivant. En regroupant ceux-ci avec ceux de ce message l’histoire sera plus complète.
http://www.numicanada.com/forum/viewtop ... d9cb386847Ne soyez pas surprit si il y a des bouts qui seront du copier/coller venant de cet autre message.
Pour débuter voici les critères pour qu’un
"Flan partiellement coupé " soit reconnu.
Ces critères proviennent de ce lien.
http://www.error-ref.com/incomplete-punc J’ai traduit de l’anglais au français pour le besoin. Vous pouvez lire la même chose en anglais sur ce lien.
1 = La marque du poinçon pour les flans doit pénétrer (le marquer) sur toute la surface de la pièce, non simplement l'effleurer.
2 = La marque du poinçon doit être visible sur le bord de la pièce (listel).
3 = Les motifs ne doivent pas être enfoncé de chaque côté de la marque du poinçon. Les motifs devraient en fait avoir une apparence normale, sauf pour une interruption très étroite où il croise le début d'un motif.
4 = Il ne faut pas d'affaissement du motif où elle se trouve à côté de la marque du poinçon.
Les critères étant maintenant connu, débutons par voir comment se produit initialement ce défaut lors du poinçonnage des flans et que l'on retrouve sur des pièces en circulation.
Je vais emprunter une partie du texte que l'on retrouve au
#36 "Flan partiellement coupé" de la liste des erreurs et variétés pour faire la relation avec les dessins qui suivent.
Auparavant, le seul moyen d'arrêter l'équipement était de mettre le commutateur à fermer et là, toute la chaîne de production s'arrêtait. Par contre, l'équipement continuait le mouvement, par force d'inertie, avant de s'immobiliser complètement et ceci souvent sur la lame. Les poinçons en rangée qui peuvent varier en nombre, dépendant du diamètre du flan en cours de fabrication, y laissaient leurs empreintes dans la lame.Voici une partie de lame qui montre des flans incomplètement poinçonnés et qui servira pour la suite des explications.
Voici un dessin de la position du poinçon (coupe #1) et de la lame après l'arrêt qui démontre qu’il y aura des marques sur les deux côtés.
La partie où le poinçon est resté appuyé après l’arrêt de l’équipement a coupé une partie du flan seulement.
Comme on peut le voir la pression a fait ressortir une partie du flan dans le poinçon femelle. Cette partie n’a pas été coupée mais elle a été déchirée par la poussé de la pression du poinçon.
Voici la configuration d’une coupe de flan bien réussi. La partie du haut (côté poinçon) est coupée et celle du bas est déchirée.
Lorsqu'on repartait l'équipement, la tension était mise aussi en même temps sur les rouleaux qui entraînent la lame. Au départ, la lame se tensionne et bouge. Alors, comme les empreintes sont déjà sur la lame, le poinçonnage continu et une rangée de nouveaux flans avec cette marque se retrouvent à un moment donné dans la chambre de frappe. La pression de la frappe va aplanir ce défaut, mais cette marque restera toujours apparente.La coupe #2 montre la lame qui a avancé mais pas de la bonne longueur du à un mal fonctionnement de l’équipement. Et avec le poinçon chevauchant maintenant un flan déjà poinçonné mais incomplet comme ceci.
La lame ayant fait son avancement c’est maintenant au tour du poinçon de faire son travail.
Pour ce qui est d’une marque sur un seul côté la seul différence avec la précédente explication est que le poinçon avait moins de pression sur la lame lors de l‘arrêt de l’équipement. Il a fait seulement une légère marque côté poinçon et pas assez de pression côté femelle pour déchiré le flan.
Pour rencontrer les critères mentionnés ici haut cela signifierait que ces marques de coupe sur un seul côté ne les rencontrent pas.
Je me permets en terminant et à titre bien personnelle d’affirmer que pour moi ce sont des flans partiellement coupés, sur un seul côté, peut importe ces critères.
Dit autrement un très gros éclat de coin et un très petit resteront tous les deux des éclats de coin.
C’est ou j’en suis.