Sou Bouquet Breton #716 - Recherche Identification

[ainsivalavie]

J'ai un Sou Bouquet (Breton #716 - LC-4A2 / Sou de la Rébellion) avec une inscription à l'encre dessus dont j'avais déjà abordé sur le forum il y a plusieurs années en lien avec un sujet de restauration. L'inscription selon le sens qu'on l'observe peut être «198» ou «861».

J'avais fait des recherches à l'époque pour tenter de trouver si une de ces deux possibilités ne correspondait pas à une quelconque identification de variété dans un ouvrage de référence ancien. Malheureusement je n'avais rien trouvé, et j'en étais arrivé à la conclusion que la signification de l'inscription n'avait peut-être rien à voir.

Mais voilà, récemment je suis tombé sur un second jeton de cette même variété avec ce même # inscrit. Donc, je commence à penser de plus en plus qu'il s'agit effectivement d'un # de variété comme cela était régulièrement en pratique au 19e siècle jusqu'au début du 20e siècle. Il reste cependant à trouver l'origine, ce qui pour le moment j'ai été incapable de faire.

Est-ce que ça dit quelque chose à quelqu'un un tel # de variété?

Quelques exemples à éliminer:

- Atkins #107
- Batty #278 à #284
- Bowman #716
- Breton #716 (Édition 1894)
- Courteau #14
- Haxby-Willey #129
- Leroux #509 (Édition 1892)
- McLachlan #102
- Raymond #66
- Sandham #75
- Willey #689

En photo, mon jeton à gauche, et le second jeton à droite:

[sysec]

Depuis plusieurs mois CNG vend des deniers romains provenant de la collection de The Robert W. Hubel Collection ( Assembled 1929-1939) ou les pièces ont souvent un numéro d'inventaire inscrit sur celle-ci à l'encre. Ce numéro permettait peut être de faire le lien avec une description de la pièce. Chez cet encanteur, j'ai trouvé deux ventes pour un denier de la république du même type et provenant de cette collection, ceux-ci on le même numéro d'inventaire.

[ainsivalavie]

Depuis plusieurs mois CNG vend des deniers romains provenant de la collection de The Robert W. Hubel Collection ( Assembled 1929-1939) ou les pièces ont souvent un numéro d'inventaire inscrit sur celle-ci à l'encre. Ce numéro permettait peut être de faire le lien avec une description de la pièce. Chez cet encanteur, j'ai trouvé deux ventes pour un denier de la république du même type et provenant de cette collection, ceux-ci on le même numéro d'inventaire.

J'avais moi aussi pensé à ce cas de figure, puisque j'ai plusieurs exemples dans ma banque d'images. Cependant, j'en avais conclu que c'était sans doute peu probable étant donné qu'il s'agit seulement de 3 chiffres.

Il me reste à regarder dans les précédentes éditions de Breton et Leroux, compte tenu que les références de variétés étaient différentes. Peut-être j'aurai de la chance.

Pour l'anecdote, à partir des exemplaires que j'ai répertoriés ces 15 dernières années pour cette variété, j'estime qu'entre 1500 et 2000 jetons auraient survécu jusqu'à nos jours. À priori, ce nombre me semble élevé étant donné que certaines sources donnent une émission de seulement 12 000 exemplaires. Mais bon, peut-être les collectionneurs ont trésoriers assez tôt ces jetons.

[sysec]

J'avais moi aussi pensé à ce cas de figure, puisque j'ai plusieurs exemples dans ma banque d'images. Cependant, j'en avais conclu que c'était sans doute peu probable étant donné qu'il s'agit seulement de 3 chiffres.

J'ai fait un survol des numéros d'inventaire pour cette collection de deniers ...524 .... 1035

Je serais porté à croire que l'attribution d'un numéro d'inventaire correpondait à:

Nouveau numéro = dernier numéro + 1

Ce n'est qu'une hypothèse. Pourquoi fixer au départ une limitation sur le numéro d'inventaire le plus élevé. On inscrit le numéro d'inventaire sur la pièce, un(des) zéro non significatif à gauche non pas leur place visuellement.

[ainsivalavie]

J'avais moi aussi pensé à ce cas de figure, puisque j'ai plusieurs exemples dans ma banque d'images. Cependant, j'en avais conclu que c'était sans doute peu probable étant donné qu'il s'agit seulement de 3 chiffres.

J'ai fait un survol des numéros d'inventaire pour cette collection de deniers ...524 .... 1035

Je serais porté à croire que l'attribution d'un numéro d'inventaire correpondait à:

Nouveau numéro = dernier numéro + 1

Ce n'est qu'une hypothèse. Pourquoi fixer au départ une limitation sur le numéro d'inventaire le plus élevé. On inscrit le numéro d'inventaire sur la pièce, un(des) zéro non significatif à gauche non pas leur place visuellement.

Je dois dire que ma déduction se basait sur les multiples exemples dans ma banque d'images, lesquels contiennent tous davantage de chiffres, et surtout sont uniques (On un type d'écriture similaire pour ceux d'une même origine, et leurs auteurs tentent d'être le plus discret possible sur la pièce (Comme par exemple sur l'exemplaire de droite dans ma publication ci-haut)).

Mais bon, vous avez raison, je ne l'exclus pas nécessairement, juste que je considère cela improbable comme je mentionnais dans mon précédent commentaire.

On remarque aussi sur mon exemplaire de gauche, un autre symbole ou caractère au-dessus ou dessous du nombre, et dont j'ignore ce que c'est (Et qui ne semble pas présent sur le second exemplaire).