Médaille de Champlain 1908

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johnpitch1
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Médaille de Champlain 1908

Messagepar johnpitch1 » Ven Oct 24, 2008 2:46 pm

Au tricentenaire de la ville de Québec en 1908, une médaille de à l'effigie de Champlain a été frappée.

Est-ce que quelqu'un possède ou a déjà vu une de ces médailles?

Johnpitch1... 8)

lepredateur
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Messagepar lepredateur » Sam Oct 25, 2008 8:04 pm

Salut Johnpitch1,

Je ne la possède pas mais je crois qu'elle ressemble à ceci:
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et on pouvait l'acheter chez un bijoutier pour 25 cents à cette époque.

J'aimerais bien en trouver une...

A+

Leprédateur

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Nath
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Messagepar Nath » Dim Oct 26, 2008 12:53 pm

Impressionant!
mais si vous en trouver en vente a un endroit (quand même pas a 100$)
dite-le moi!
Nath
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On vieillit...a force d'expérience!
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johnpitch1
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Messagepar johnpitch1 » Dim Oct 26, 2008 5:49 pm

Salut vous deux.

Leprédateur, ...Est-ce que sur ta médaille parait une date, soit 1608-1908 ou tout sinplement 1908 et qu'est-ce qu'il y a d'écrit sur? Fait-t'elle référence au tricentennaire de la ville de Québec?

Je te demande cela car la médaille que j'ai vu dans un reportage sur la vie de Champlain qui est passé à R.C. et dans le reportage ils parlent environ 1 min, 1/2 sur le tricentennaire de la ville de Québec et à un moment donné on nous montre une médaille qui me parait être de couleur brass(yellowcopp). D'un côté on voit l'effigie de Champlain vu de face, en haut le mot ''Québec'' et en bas on a les dates 1608-1908.

De l'autre côté de la médaille on aperçoit une dame à gauche vêtue d'un voile et d'une grande robe au dessus de la mer regardant l'horizon.

Je ne pense pas que ce soit la même médaille que celle que tu me montre à l'écran. Mais peut-être qu'il y en a eu deux.

et en passant je ne t'ai pas oublié... :wink:

johnpitch1... 8)

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JCMichaud
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Description : Message de Numicanada : JCMichaud est décédé en décembre 2016. Merci pour tout ce qu'il a fait au cours des années pour la communauté numistmatique. Repose en paix.
--------
Je suis originaire du bas du fleuve, plus précisément de Matane. Nous avons déménagés et j'ai demeuré dans la ville de Gagnon durant 13 ans et cette ville a été fermé en 1985 malheureusement. Je fais aussi de la généalogie et mes ancêtres viennent de Nôtre-Dame-de-Fronteney-le-Comte en Pointou et se sont établis dans la région de Kamouraska. Je suis membre de L'Association des Familles Michaud et nous sommes une des familles souche. Je collectionne que depuis 10 ans donc j'avais 45 ans L'intérêt m'est venu lorsque j'avais 12 ans environ (a Gagnon durant une exposition) en voyant une très belle collection de pièces et papiers canadien et d'autres pays qu'un collectionneur avait montrer. Mais ce n'est qu'en 1999 que j'ai mis ce rêve a exécution car il y avait plusieurs beaux dessins. J'adore également les vieilles pièces et leur histoire. Je collectionne les pièces canadienne seulement. Les pièces commémorative si je trouve un attrait pour elles. Les PL set, je viens de les commencés et je vais embarquer pour les 25 cents en papier bientôt.
Mon but est de terminer chaque dénomination.
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Messagepar JCMichaud » Dim Oct 26, 2008 10:52 pm

Voici ce que j'ai trouver sur le net et c'est la même médaille:
http://artefactscanada.chin.gc.ca:8015/ ... ng=English

Il y a eu celle du Tricentenaire du débarquement de Champlain à Saint John, 1604-1904
http://www.mccord-museum.qc.ca/fr/colle ... ts/X6122.1

JC

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tireggg
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Médaille Champlain 1608 2008 pour le 400ieme de Quebec

Messagepar tireggg » Sam Nov 08, 2008 2:52 pm

Bonjour,

Pouvez-vous me dire à quel endroit je peux trouver cette médaille.

Les gens de La monnaie Royale (MRC) me disent qu’ils n’ont jamais vendu cette pièce.

Je n’ai pas eu de réponse de la monnaie de Paris.

Merci

Régent

Médaille de Champlain
La face de la médaille de Samuel Champlain réalisée en 1932 par Raymond Delamarre, a été adoptée par la ville de Québec pour le 400eme anniversaire de la fondation de Québec au Canada.

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johnpitch1
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Messagepar johnpitch1 » Mar Nov 11, 2008 4:26 pm

Bonjour tireggg.

Peut-être au près de l'organisme du 400ième de la ville de Québec vu que ce sont eux qui s'occupaient des fêtes du 400ième. En tout cas s'il y avait une médaille pour cet évènement on n'en a pas entendu parler beaucoup mais je m'esseyerais là en premier lieu ou sinon ils ont peut-être l'information sur l'endroit où s'en procurer une.

johnpitch1... 8)

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tireggg
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Messagepar tireggg » Sam Nov 29, 2008 3:00 pm

Bonjour,

Voici une illustration de la médaille tirée du volume de Viv Nelles sur le tricentenaire de Québec en 1908.
C'est une très belle médaille,

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Dans son livre L’histoire spectacle : Le cas du tricentenaire de Québec (publié en 1999 en anglais et en 2003 en français), l’historien Henri Vivian Nelles, de l’Université York, explique l’importance de cet anniversaire. Il y écrit : « Ce que nous, Canadiens, deviendrions au XXe siècle – et ce qu’il nous serait impossible de devenir – se trouvait en bonne partie exposé aux yeux de tous en 1908 dans les rues de Québec et sur la grande scène des plaines d’Abraham. Une commémoration est nécessairement une célébration de soi. Mais la plupart du temps, ce “soi” est multiple et son opinion sur l’identité et le destin est divisée3. »

Henri Vivian Nelles explique de manière captivante à quel point la célébration de cet anniversaire dans la ville de Québec en 1908 avait un sens radicalement différent selon les personnes.

Pour le premier ministre Wilfrid Laurier, il était essentiel que les festivités soient inclusives. « Le gouvernement du Canada acceptait le projet des fêtes jubilaires, à la condition que ces fêtes revêtent un caractère vraiment national, dans la plus large acceptation du mot4. »

Pour le comte Grey (qui a donné son nom à la coupe Grey), alors gouverneur général, la célébration de 1908 était une occasion pour l’Empire britannique de gagner la confiance des Canadiens français et de laisser un symbole durable de la réconciliation entre les Anglais et les Français. Si le gouvernement fédéral a fait l’acquisition des plaines d’Abraham pour en faire un parc, c’est en grande partie parce que le comte Grey le demandait avec insistance.

Pour les nationalistes canadiens-français, l’organisation, de portée générale et inclusive, des festivités représentait une menace impérialiste et séculière pour leur identité en tant que catholiques de langue française. « Champlain est évincé », écrivait Jules-Paul Tardivel. « Wolfe domine5. »

Mais, selon les termes de Nelles, les Premières nations « ont volé le spectacle ». Elles ont utilisé le spectacle fastueux, de même que le village autochtone qui a été construit sur les plaines d’Abraham, pour manifester leur présence. Nelles raconte : « Ils s’imposèrent sur la scène entre les deux nations et insistèrent pour qu’il y en ait trois6. »

Cent ans plus tard, on peut entendre l’écho de certaines des tensions exprimées en 1908, mais il est clair que l’on souhaite donner aux festivités un caractère inclusif. Les Hurons de L’Ancienne‑Lorette, descendants de ceux qui se sont réfugiés à Québec après le massacre de la population de Sainte-Marie-au-pays-des-Hurons par les Iroquois en 1660, auront un rôle important à jouer, de même que la minorité anglophone de la ville de Québec. Et comme à Québec en 1908 où on avait remarqué une présence internationale, la planète se donne rendez-vous pour Québec 2008 puisque les festivités se termineront par le Sommet de la Francophonie en octobre.

L’étude de Nelles nous amène à comprendre que Québec 2008 ne se contentera pas de célébrer l’histoire, il fera l’histoire, et ce, de manières qu’il nous est impossible de prévoir. Dans 100 ans, les historiens pourront acquérir tout un bagage de connaissances en analysant la façon dont nous voyons notre passé aujourd’hui.

Le texte est de Graham Fraser
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Henry Vivian Nelles, The Art of Nation-Building. Pageantry and Spectacle at Quebec’s Tercentenary, Toronto, University of Toronto Press, 1999, 397 pages.

Ayant reçu les prix Lionel-Groulx et John A. Macdonald en 1999, le livre de Henry Vivian Nelles, The Art of Nation-Building: Pageantry and Spectacle at Quebec’s Tercentenary, présente au lecteur un large tableau des cérémonies commémoratives tenues dans la Vieille Capitale en 1908. En plus d’aborder chronologiquement les événements constituant la commémoration, Nelles offre un récit détaillé des démarches et des négociations y ayant conduit, ainsi qu’une évaluation de l’impact des célébrations sur la mémoire des Canadiens. Tranchant avec ses travaux précédents d’histoire politico-économique, mais faisant suite à un article publié un an plus tôt dans Histoire sociale («Historical Pageantry and the ‘‘Fusion of Races’’ at the Tercentenary of Quebec, 1908», Histoire sociale/Social History, 29 (novembre 1996, pp. 391-415), le livre de Nelles nous présente les célébrations de 1908 sous un angle essentiellement politique, même s’il n’en tait pas complètement les aspects culturels. À l’origine destinées à commémorer le débarquement de Champlain sur le site actuel de Québec trois cents ans plus tôt, les célébrations, en plus de coïncider avec le 200e anniversaire de la mort du premier évêque de Nouvelle-France, Mgr Laval, devinrent l’occasion de présenter différentes visions du passé et de la nation, autant d’événements et de messages concurrents adressés à un auditoire diversifié.

Nelles dresse un tableau coloré du déroulement des célébrations, pour ensuite se tourner vers les efforts qu’ont fait différents acteurs pour s’assurer de leur tenue. On découvre les travaux parallèles des quelques francophones ayant été à l’origine de l’idée de tenir ces célébrations et à ceux d’Earl Grey, nouvellement nommé gouverneur général du Canada. Ce dernier est présenté comme le principal responsable de l’élargissement du mandat dévolu aux célébrations en vue d’en faire un appel à l’unité du Canada et de l’Empire britannique. Nelles brosse également un portrait de l’Église catholique et de ses efforts pour préserver le caractère français et catholique des cérémonies, tout en contrant l’influence de la France républicaine, invitée elle aussi à participer aux célébrations. On découvre également les critiques, souvent cinglantes, portées par la presse canadienne-française nationaliste à la lumière du détournement des fêtes par Grey et les «Anglais».

Nelles analyse et expose de manière équilibrée les objectifs, les appréhensions et les attentes des différentes composantes de l’élite canadienne face aux célébrations. Il fait preuve d’une bonne compréhension des diverses idéologies en présence, sans tomber dans le piège d’une simplification excessive. L’auteur dresse par exemple un portrait des acteurs qui laisse place à l’irrationnel, sans frayer avec une psycho-histoire dont la validité est discutable. De fait, il perçoit tant les concepteurs des cérémonies que les spectateurs auxquels elles sont destinées comme actifs et capables d’interpréter ou de déformer les symboles et les messages associés aux différentes manifestations des fêtes de 1908.

L’auteur étudie également les divers tableaux offerts à l’occasion du «pageant» historique qui constitue la principale manifestation des célébrations. Les choix entourant son scénario et son déroulement offrent un aperçu de la complexité des relations tendues qu’entretiennent les différents sens donnés aux célébrations. En terminant, Nelles se penche sur la volonté d’immortaliser les célébrations commémoratives par l’entremise de livres, d’œuvres d’art et d’aménagements paysagers sur les Plaines d’Abraham. Il souligne à ce sujet l’échec significatif des efforts pour préserver le souvenir de cette démonstration de «nation-building».

Au fil de l’ouvrage, on peut percevoir différents aspects de la vision qu’a Nelles de la «question nationale». Constatant à travers son livre l’échec du processus de construction d’une identité nationale et impériale au Canada à l’occasion des célébrations de 1908, l’auteur donne l’impression d’être satisfait du fait que le Canada n’ait pas suivi la voie des nations «normales». Il déplore toutefois, depuis lors, la dérive entre les deux «nations fondatrices», soulignant les meilleures relations qu’elles entretenaient malgré les conflits occasionnels au début du XXe siècle. Liant son ouvrage aux circonstances dans lesquelles il a été écrit, soit le référendum sur la souveraineté de 1995, Nelles se fait l’apôtre d’un rapprochement des historiographies canadiennes francophone et anglophone. Sans nous attarder ici sur ce débat, soulignons que Nelles fait preuve d’une bonne compréhension des différents enjeux politiques de l’époque et qu’il démêle habilement les fils de la dynamique complexe qui lie les différents groupes en présence.

Cette qualité de l’ouvrage tient probablement en partie à la grande quantité de sources exploitées par Nelles : journaux intimes et papiers personnels de personnages importants ou anonymes, archives officielles de l’ensemble des gouvernements et institutions engagés de même que des documents iconographiques de toutes sortes. La recherche entreprise par Nelles pour écrire The Art of Nation-Building est considérable. Il en ressort une vision complexe et complète de la mémoire des collectivités et de son fonctionnement. Différents messages sont transmis par une élite qui est loin d’être monolithique ou divisée simplement sur le seul fait de considérations linguistiques ou religieuses. L’auditoire, loin d’être un récepteur passif, est aussi composé de sous-groupes interprétant le message à la lumière de leurs aspirations et intérêts. Comme le souligne Nelles, l’hégémonie des élites ne saurait être simplement imposée par le haut. Elle résulte plutôt d’un processus continuel de négociations que l’auteur illustre bien à travers sa narration des événements.

C’est par l’entremise de la narration que nous sont en effet exposés les multiples facettes des commémorations de 1908. C’est le trait qui caractérise probablement le plus l’ouvrage de Nelles sur le plan méthodologique. Sa plume adroite donne à l’ouvrage une qualité esthétique indéniable et le rend accessible à un large public, sans entamer excessivement sa rigueur et, plus encore, ses qualités d’ouvrage érudit. Nelles rattache plus l’histoire à la littérature qu’à la science, une position qui prête flanc aux attaques des historiens «scientifiques» favorisant le quantifiable. On ne peut s’empêcher de penser qu’il s’agit là d’un ouvrage que seul un historien ayant un certain bagage et une bonne position au sein de la discipline peut se permettre. Néanmoins, le fait que l’ouvrage se soit vu décerner des prix prestigieux au Canada anglais et français laisse croire qu’il y a une plus grande ouverture face à l’histoire narrative et à des monographies se penchant sur des événements et des phénomènes échappant, de par leur nature, aux méthodes quantitatives.

En bref, The Art of Nation-Building a les défauts de ses qualités. Tout en étant un excellent ouvrage étudiant en profondeur un épiphénomène révélateur des réalités politiques et sociales de l’époque, l’étude de Nelles dévoile la vision qu’ont différents groupes sociaux de leur réalité ou de ce qu’elle devrait être. Elle se caractérise également par une structure narrative qui, si elle le rend plus accessible et «littéraire», présente de par sa nature quelques lacunes, par exemple pour ce qui est de l’exposé détaillé des concepts utilisés par Nelles (la mémoire et la commémoration, les idéologies en présence), qui pourrait laisser certains lecteurs sur leur faim.
Le Texte est de Harold Bérubé

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greatgaet
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Messagepar greatgaet » Sam Nov 29, 2008 3:24 pm

Bonjour tireggg,

Très, très, très intéressant :)

Merci de partager :wink:

greatgaet

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Line
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Description : Je collectionne la monnaie depuis 10 ans
Mais plus intensément ces dernières années avec la découvertes des erreurs et variétées .Mon but est d'offrir une collection a chacun de mes petits enfants
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Messagepar Line » Sam Nov 29, 2008 7:48 pm

Merci tireggg sujet très interessant :wink:
se sont de très belle médaille j'aimerais bien savoir ou m'en procurer :?:
Que les sous soit avec vous :wink:

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Nic le Fouineur
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Description : Il y a 45 ans, un matin en savourant mes «Fruit Loops», je trouvais un 5 cents 1930 dans la monnaie que ma mère m'avait laissée pour mon dîner. Ce fut le début d'une grande aventure.

Je suis devenu membre de la Société Numismatique de Québec en 1980. J'y ai été secrétaire, administrateur, éditeur du bulletin mensuel ainsi que Président durant 5 ans.

Avec ma femme j'ai fondé, en 1991, les Jeunes Mordus de la Monnaie qui se voulait le volet junior de la SNQ.

10 ans plus tard, devant l'absence d'une relève à la SNQ au volet junior, j'ai fondé Les Apprentis Numismates. Cet organisme se veut une approche pédagogique d'initiation à la collection de monnaie. Il s'adresse toujours aux jeunes, mais également aux adultes qui désirent découvrir la numismatique sous un nouveau jour.
Localisation : Québec
Contact :

La médaille du 400e

Messagepar Nic le Fouineur » Dim Nov 30, 2008 7:49 pm

Sachez que la médaille, que nous présent tireggg, n'est pas disponible auprès des collectionneurs. M. Yvon Marquis a écrit un article sur cette médaille , offerte aux bénévoles et dignitaires, dans le dernier bulletin mensuel de la Société Numismatique de Québec.
Nic Le Fouineur

Tonyaubin
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Re: Médaille de Champlain 1908

Messagepar Tonyaubin » Lun Déc 26, 2022 9:55 am

J'ai en procession cette pièce.

Tony Aubin

N'hésiter pas de communiquer avec moi pour en discuter.

581 991 6499

Merci

Tonyaubin
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Re: Médaille de Champlain 1908

Messagepar Tonyaubin » Lun Déc 26, 2022 9:58 am

J'ai en procession cette pièce.

Vous pouvez communiquer avec moi pour en discuter.

Tony-buyer@hotmail.com

581 991 6499

Tony Aubin


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