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une autre trouvaille au salon de boucherville
j ai acheter se weekend un lot de médaille des lieutenant gouverneur du Québec un lot de 6 médaille (4 en argent et 2 en brass) les médaille en argent sont très rare et celle de bronze ou brass environ 112 seulement fabriquer ,

j ai déjà vus un livre qui parle de ses médaille et donne les quantité fabriquer
si quelqu'un peut m aider a le trouver se serai fortement apprécier

3 de ses médailles sont liste par breton dans sont livre de 1912 avec des prix de 2,50$ pour les brass et 4,00$ pour les argent prix de 1912 si l ont considère que dans pièces valent 15 ¢ en 1912 valent aujourd’hui 1000$ sa donnerai un bon prix mes malheureusement le marche des médaille n a pas suivie celui des jeton mes sa va venir les prix des encan monte toujours année après année
une première photo
http://picasaweb.google.com/lh/photo/25 ... directlink

breton liste cette médaille # 101 dans son livre de 1912 2,50$ bronze et 3,50$ en argent un bon montant pour l epoque
et LEROUX # 1098 en 1892 avec un indice de rareté 6
qu’il décrit comme très rare


la petit histoire de la médaille que je possède

1er vente de cette médaille au show torex 26-29 avril 1979 lot # 304 et je crois quel ses vendue 32,00 a l epoque tel que decrit sur l emballage de la pieces toujours intéressent de savoir d ou elle provienne

en 1984 nadin davis estime une médaille comme la mienne ef -40 a 75,00$
pour moi cette médaille est ms-60

acheter d un marchant que j apprécie beaucoup une personne honnête et très sympathique (PETER MCDONALD )au show de Boucherville
estimer aujourd’hui entre 150 $et 200$ mes je ne serai pas surpris de voir une médaille semblable s envoler a plus de 300$
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cette medaille est decerne pour

Programme des distinctions honorifiques du Lieutenant-gouverneur
Le Programme des distinctions honorifiques du Lieutenant-gouverneur a pour objet la reconnaissance de l’engagement, de la détermination et du dépassement de soi de Québécois qui ont eu une influence positive au sein de leur communauté ou de la nation québécoise. Il y a trois catégories de distinctions :

La Médaille du Lieutenant-gouverneur pour la jeunesse (couleur bronze)
http://www.lieutenant-gouverneur.qc.ca/ ... nesse.html

La Médaille du Lieutenant-gouverneur pour les aînés (couleur argent)
http://www.lieutenant-gouverneur.qc.ca/ ... aines.html

La Médaille du Lieutenant-gouverneur pour mérite exceptionnel (couleur or)
Description de la médaille
http://www.lieutenant-gouverneur.qc.ca/ ... erite.html

Sur l’avers, paraît l’effigie du lieutenant-gouverneur. Au pourtour, se trouve l’inscription « Honorable (non du lieutenant ), lieutenant-gouverneur du Québec ».

Sur le revers, figurent les armoiries personnelles du lieutenant-gouverneur.

Critères généraux
Les récipiendaires des différentes distinctions honorifiques doivent être des résidants du Québec. Toutefois, dans certaines circonstances, la Médaille du Lieutenant-gouverneur pour mérite exceptionnel pourrait être remise à une personne qui réside à l’extérieur du Québec.

Une seule médaille peut être décernée, dans chacune des catégories, à une même personne au cours de sa vie.

Les distinctions honorifiques du lieutenant-gouverneur peuvent être décernées à titre posthume.

Cérémonies de remise
Dans le cadre de tournées régionales, le lieutenant-gouverneur présidera les cérémonies de remise des médailles.
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un bout de l histoire de ce grand homme qui a demis de ses fonctions de premier ministre du canada l honorable honore mercier suite a un scandale



site qui montre tout les lieutenant gouverneur
http://www.lieutenant-gouverneur.qc.ca/ ... seurs.html

L'honorable sir Auguste-Réal Angers, C.P. (4 octobre 1837 à Québec - 4 avril 1919) était un juge et homme politique québécois. Il a été député à l'Assemblée législative du Québec et à la Chambre des communes du Canada, et sénateur, et il a fait partie des cabinets fédéraux de John Thompson et de Mackenzie Bowell en tant que ministre de l'Agriculture, et du cabinet de Charles Tupper en tant que président du Conseil privé. Toutefois, on se souvient surtout de lui pour avoir, en tant que lieutenant-gouverneur du Québec, démis de ses fonctions le premier ministre Honoré Mercier.


Le lieu et la date de naissance d'Auguste-Réal Angers sont incertains. Si la plupart de ses biographes rapportent qu'il est né le 4 octobre 1838 à Québec, fils de François-Réal Angers et Louise-Adèle Taschereau, il serait plutôt né en 1837 à Beauport, de parents inconnus, et aurait été élevé par Angers et Taschereau comme un fils.

Il fait ses études au séminaire de Nicolet. Il est ensuite étudiant non-inscrit en droit à l'Université Laval, mais aurait reçu sa formation juridique de son père. Il est admis au barreau du Bas-Canada le 2 juillet 1860 et pratique le droit au sein d'un des bureaux d'avocats le plus prestigieux de Québec.

Il est élu pour la première fois à l'Assemblée législative du Québec à la faveur d'une élection partielle dans Montmorency en 1874, sous la bannière du Parti conservateur. Lorsque Gédéon Ouimet est forcé de démissionner à la suite de l'affaire des Tanneries, Charles-Eugène Boucher de Boucherville est appelé à former un nouveau gouvernement et nomme Angers au poste de solliciteur général. Angers introduit différentes réformes électorales, dont le scrutin secret. En novembre 1875, il accède au poste de leader du gouvernement en chambre et en janvier 1876 il devient procureur général. Angers devient rapidement la figure centrale du gouvernement. Étant donné que le premier ministre siège au Conseil législatif, c'est lui qui dirige les travaux et parle au nom du gouvernement à l'Assemblée législative. Il se fait rapidement une réputation de parlementaire redoutable et intransigeant.

En 1876, Luc Letellier de Saint-Just, nommé lieutenant-gouverneur du Québec par le gouvernement libéral fédéral d'Alexander Mackenzie, démet le premier ministre de ses fonctions et appelle le chef du Parti libéral du Québec, Henry-Gustave Joly de Lotbinière, à former un gouvernement. Lors les élections générales qui s'ensuivent, Angers est défait par 14 voix dans sa circonscription. Il s'affaire à convaincre le gouvernement fédéral de démettre Letellier de ses fonctions, ce qui se produit en juillet 1879.

Angers fait le passage à la politique fédérale, se faisant élire à la Chambre des communes du Canada dans Montmorency dans une élection partielle le 14 février 1880. Il participe peu aux débats aux communes, et le 13 novembre de la même année, il est nommé juge puîné de la Cour supérieure du Québec.

En 1887, il est nommé lieutenant-gouverneur du Québec. Il cherche généralement à éviter la confrontation avec le gouvernement libéral d'Honoré Mercier, mais les tensions atteignent un sommet en août 1891 après des accusations de corruption faites devant un comité sénatorial dans le contexte du scandale de la Baie des Chaleurs. Angers forme une commission d'enquête pour enquêter sur l'affaire; le rapport, déposé en l'absence du président de la commission, exonère Mercier. Toutefois, le président de la commission se dissocie du rapport de ses collègues. Angers prend la décision de démettre Mercier de ses fonctions et appelle Boucher de Boucherville à former un nouveau gouvernement.

Boucher de Boucherville déclenche immédiatement une élection générale, qu'il remporte. En décembre de 1892, Angers est nommé au Sénat du Canada et rejoint le conseil des ministres de John Sparrow David Thompson en tant que ministre de l'Agriculture.

Thompson meurt en 1894. Suite au refus de Mackenzie Bowell, le successeur de Thompson au poste de premier ministre du Canada, à régler rapidement la Question des écoles du Manitoba, Angers démissionne du cabinet en même temps que deux autres ministres. Les deux autres se font convaincre de revenir, mais Angers refuse et reste hors du gouvernement en guise de protestation. Il refuse également un poste à la Cour suprême du Canada. Bowell, critiqué de toutes parts, démissionne et est remplacé par Charles Tupper; Angers accepte de servir au sein de son conseil des ministres en tant que Président du Conseil privé. Il quitte son siège au Sénat pour être candidat dans Québec-Centre lors de l'élection fédérale de 1896, mais il est défait par le candidat libéral. Le gouverneur général refuse de lui redonner son siège au Sénat, et il s'installe à Montréal pour pratiquer le droit.

Il est décédé à Westmount en 1919 et est enterré au cimetière Notre-Dame-des-Neiges, à Montréal

Merci. J'aime bien te lire.

Tu as souvent de belle trouvaille à nous montrer.

Fred

une autre médaille celle du 8 IIème lieutenant gouverneur du Québec



GRAVER par LOUIS ALEXANDER BOTTEE (1852-1941)

LISTE PAR BRETON EN 1912 # 102 2,50 $ bronze et 3,50 argent
ENGRAVER LOUIS ALEXANDER BOTTEE
LISTE PAR BRETON EN 1912 # 102 2,50 $ bronze et 3,50 argent
remis entre 1898 et 1908 une autre belle médaille tres rare

malgré qu’il fut en poste plus longtemps que Angers après avoir parler avec plusieurs collectionneur de médaille celle ci serai plus difficile a trouver que celle liste # 101 le breton cette médaille ma coute 25$ de plus que celle de Angers

Louis-Amable Jetté
(1836-1920)

remis entre 1898 et 1908
par Louis-Amable Jetté
(1836-1920)
sont histoire

Il fut un des fondateurs de la Banque d'Hochelaga de Montréal.


Né à L'Assomption, le 15 janvier 1836, fils d'Amable Jetté, marchand, et de Caroline Gauffreau.

A étudié au Collège de l'Assomption et à l'Université Laval à Montréal. Étudia le droit auprès de Mes Pelletier et Bélanger et de Mes David et Ramsay. Admis au Barreau du Bas-Canada le 2 février 1857.

Mena une triple carrière dans les domaines du droit, du journalisme et de l'enseignement. Avocat à Montréal, fut associé avec Me Siméon Lesage et Me Hector Fabre (sénateur de 1875 à 1882), puis avec Me Frédéric-Liguori Béique (sénateur de 1902 à 1933). Commissaire pour la révision du Code civil de la province de Québec, déposa un rapport minoritaire intitulé Observation relative au Code de procédure civile. Créé conseil en loi de la reine le 31 mai 1878.

Élu député libéral à la Chambre des communes dans Montréal-Est en 1872. Réélu sans opposition en 1874. Ne s'est pas représenté en 1878. Déclina l'offre de devenir ministre de la Justice dans le cabinet Mackenzie en mai 1878. Président de l'Association de réforme du Parti national.

Juge à la Cour supérieure pour le district de Montréal du 2 septembre 1878 au 20 janvier 1898. Lieutenant-gouverneur de la province de Québec du 1er février 1898 au 15 septembre 1908. De nouveau juge à la Cour supérieure du 4 septembre 1908 au 16 novembre 1909. Juge en chef à la Cour du banc du roi de la province de Québec du 16 novembre 1909 jusqu'en 1911. Du 9 novembre 1910 au 10 avril 1911, fut administrateur du gouvernement provincial en l'absence de Charles-Alphonse-Pantaléon Pelletier.

Membre et président de la Commission royale d'enquête sur l'affaire du chemin de fer de la Baie-des-Chaleurs en 1891. Membre du tribunal chargé de délimiter les frontières de l'Alaska (1903). Collaborateur aux journaux L'Ordre, Le Courrier de Montréal et L'Union catholique en 1863. Rédacteur du journal L'Union nationale. Fondateur et rédacteur de la Revue critique de législation et de jurisprudence du Canada de 1871 à 1875. Correspondant de la Revue de droit international de Gand, en Belgique. Professeur de droit civil à l'Université Laval à Montréal de 1878 à 1920. Membre du Conseil de l'instruction publique de 1870 à 1898. Doyen de la Faculté de droit de l'Université Laval à Montréal de 1890 à 1898.

Reçut un doctorat honoris causa en droit de l'Université Laval en 1878 et de l'Université de Toronto en 1908, ainsi qu'un doctorat en droit civil du Collège Bishop's en 1899. Créé commandeur de la Légion d'honneur de France le 30 août 1898 et commandeur de l'Ordre de Saint-Michel et Saint-George le 17 septembre 1901. Fondateur de la Société d'économie sociale de Montréal. Président de la Commission des champs de bataille de Québec. Vice-président des Fonds patriotiques canadiens en 1900. Directeur de l'École polytechnique de Montréal. Membre de la Société de législation comparée et de la Société d'histoire diplomatique de Paris. Membre honoraire de la Société littéraire et historique de Québec. Membre du Club de la Garnison.

Décédé à Québec, le 5 mai 1920, à l'âge de 84 ans et 4 mois. Inhumé à Montréal, dans le cimetière Notre-Dame-des-Neiges, le 8 mai 1920.

Avait épousé dans la paroisse Notre-Dame de Montréal, le 23 avril 1862, Berthilde Laflamme, fille de Toussaint Laflamme, marchand, et de Marguerite-Suzanne Thibodeau.

Beau-frère de Rodolphe Laflamme, député libéral à la Chambre des communes de 1872 à 1878. Beau-père de Rodolphe Lemieux, député libéral à la Chambre des communes de 1896 à 1930 et sénateur de 1930 à 1937.

flavoie a écrit :Merci. J'aime bien te lire.

Tu as souvent de belle trouvaille à nous montrer.

Fred

merci flavoie je sais que je mes toute les info que je peut trouver sur mes pièces.
se qui fais des long texte et quel que un peuvent trouver ennuyant
et ne prendrons pas le temps de tout lire.

les intéresser qui posséderont un jour de tel médaille seront content de ses info .
mes pour moi qui adore les recherche ,surtout pour les médailles et jeton .
Ji prend un plaisir certain
pour l avenir et les future collectionneur je trouve important de partager mes découvertes
et toute l info que je connais.

je trouve mes pièces beaucoup plus intéressante quand ont i ajoute une histoire
ses mon fun quoi j aime aussi beaucoup te lire car ont est un peut dans les même branche de la numismatique merci

Oui, pour moi aussi l'information autour des pièces que je ramasse est importante.. Ca donne son sens à sa pièce, sinon quand je montre ma collection, c'est moins interresant si je n'ai pas d'info à donner sur les pièces..

J'ai plusieurs pièces en backup à montrer, mais je me manque un peu de temps en ce moment.. mes parents sont venus à la maison ce weekend et ils avaient fait de belles trouvailles au saguenay et à Quebec pour ma collection.. Je l'ai ai amené à boucherville en fin de semaine, ils ont bien aimé.

Fred

Très belles pièces, et une belle page d'histoire. J'ai hâte de voir les autres.
Anaïs

lieutenant-gouverneur 1911-1915 poste qu’il occupe jusqu’à sa mort en 1915.

medailles jeunesss en bronze liste par breton en 1912 # 102 b
prix 2,50 $bronze et 4,00$ argent tres rare j ai jamais vu


en bronze aujourdhui estimer entre 75$ et 100$


François Langelier
(1838-1915)


Né à Sainte-Rosalie, le 24 décembre 1838, fils de Louis-Sébastien Langelier, cultivateur, et de Julie-Esther Casault.

Étudia au Séminaire de Saint-Hyacinthe de 1851 à 1858, puis à l'Université Laval à Québec où il obtint un baccalauréat en droit en 1860 et une licence en droit en 1861. Poursuivit ses études à Paris de 1861 à 1863. Admis au Barreau du Bas-Canada le 10 octobre 1861.

Pratiqua le droit à Québec notamment avec son frère, Charles Langelier. Enseigna à la Faculté de droit de l'Université Laval de 1863 à 1915. Secrétaire de la Faculté de droit de 1863 à 1866 et doyen de 1892 à 1915.

En 1880, participa à la fondation de journal L'Électeur. Collabora également au journal La Nation, à L'Opinion publique, à L'Événement et à la Revue légale de 1895 à 1897.

Candidat libéral défait dans Bagot en 1871. Élu député libéral dans Montmagny à l'élection partielle du 16 décembre 1873. Défait en 1875. Réélu en 1878 dans Portneuf. Commaissaire des Terres de la couronne dans le cabinet Joly du 8 mars 1878 au 19 mars 1879. Trésorier de la province du 12 mars au 31 octobre 1879. Défait dans Portneuf en 1881. Conseiller municipal de 1880 à 1890 et maire de Québec de 1882 à 1890. Élu député libéral à la Chambre des communes dans Mégantic à l'élection partielle du 10 juillet 1884. Réélu dans Québec-Centre en 1887, en 1891 et en 1896.

Démissionna le 14 janvier 1898 lors de sa nomination comme juge à la Cour supérieure de Québec. Nommé juge à la Cour supérieure de Montréal en janvier 1901. Administrateur de la province en 1903. Nommé juge en chef à la Cour supérieure de Québec le 6 juin 1906. Assermenté lieutenant-gouverneur de la province de Québec le 6 mai 1911.

Publia Lettres sur les affaires municipales (1868), De la preuve en matières civiles et commerciales (1894), Commentaires du Code civil de la province de Québec (6 volumes: 1905-1911) et Cours de droit civil de la province de Québec. Créé conseil en loi de la reine par la province de Québec le 9 mars 1878, puis par le gouvernement du Canada le 11 octobre 1880. Nommé docteur honoris causa de l'Université Laval et de l'Université de Paris en 1878, et du Collège Bishop's en 1903. Élu bâtonnier du Barreau de Québec en 1885, en 1887 et en 1888. Vice-président de l'Association du Barreau canadien en 1897. Secrétaire de la première Société de colonisation de la province de Québec. Membre du Conseil de l'instruction publique. Président de l'Institut canadien de 1867 à 1869, de la Ligue antialcoolique et des Fêtes du troisième centenaire de la ville de Québec. Président du Conseil des arts et manufactures en 1891 et en 1892. Membre de la Société royale du Canada en 1908 et président de la section française de cette société en 1910. Créé chevalier par Édouard VII en 1907, chevalier de l'Ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem en 1912 et chevalier de l'Ordre de Saint-Michel et Saint-George (sir) en 1914.

Décédé en fonction à Spencer Wood, à Sillery, le 8 février 1915, à l'âge de 76 ans et 1 mois. Inhumé à Québec, dans le cimetière Saint-Charles, le 11 février 1915.

Avait épousé à Québec, dans la paroisse Saint-Roch, le 2 février 1864, Marie-Virginie-Sarah Légaré, fille d'Ignace Légaré et de Julie Thomas dit Bigaouette; puis, dans la paroisse Notre-Dame de Québec, le 31 mai 1892, Marie-Louise Braün, fille de Frédéric Braün, avocat, et d'Eulalie de Sales de Laterrière.

Merveilleuse œuvre d'art!
Quel délice pour l'oeil.
Merci Andrelus de nous les montrer. La dernière est fantastique. Le détail de la plume est magnifique.

Anaïs

P.s. Un 25 cents avec Elisabeth entourée de plume comme celle-ci, ce serait très accrocheur.

Je trouve les détails à l'endos de cette dernière médaille très jolie. le genre d'épie de blé ou je ne sais est très bien.

Fred

salut a tous,tres interressant ce sujet,j'ai fouillé dans mes vielleries et voici ce que j'ai trouvé,je crois que celle ci est en argent et lourds

Une très belle pièce que tu as là.
C'est drôle, une fois que le sujet est partie, les gens en trouve dans leur affaire C'est interresant!

Fred

en voici une autre.

très belle et les deux en argent la première a des inscription graver se qui la rend plus intéressante surtout si le nom de la personne qui la reçu est connues pourrai tu me dire se qui est écrit

maximebelair76 a écrit :salut a tous,tres interressant ce sujet,j'ai fouillé dans mes vielleries et voici ce que j'ai trouvé,je crois que celle ci est en argent et lourds

moi jai une en bronze qui a le poids de 170.7 gramme une grosse medaille
Eugène Fiset Il fut le dix-huitième lieutenant-gouverneur du Québec
.de 1939 a 1950







(1874-1951)

Né à Rimouski, le 15 mars 1874, fils de Jean Baptiste-Romuald Fiset, médecin, et de Marie-Florrine-Aimée Plamondon.

Fit ses études au Séminaire de Rimouski et à l'Université Laval à Québec. Fit des stages à l'Hôpital Saint-Antoine à Paris et au Nose and Throat Hospital à Londres. Reçu médecin en 1901.

Fit partie du 2e bataillon du Régiment royal canadien lors de la guerre des Boers en 1899 et en 1900, et reçut à cette occasion la médaille de la reine Victoria et du Distinguished Service Order. Directeur général du Service médical du Royal canadien de 1903 à 1906, puis chirurgien général en 1914. Major général dans la réserve des officiers du Royal canadien en 1914. Sous-ministre de la Milice et de la Défense nationale de 1906 à 1922. Vice-président du Conseil de la défense du Canada en 1910. Se retira de la vie militaire en 1923.

Élu député libéral à la Chambre des communes dans Rimouski à l'élection partielle du 2 septembre 1924. Réélu en 1925, en 1926, en 1930 et en 1935. Lieutenant-gouverneur de la province de Québec du 30 décembre 1939 au 3 octobre 1950.

Récipiendaire d'un doctorat honoris causa de l'Université Laval en 1940, du Collège Bishop's en 1941 et de l'Université de Montréal en 1943. Fellow du Collège royal des médecins-chirurgiens du Canada en 1943. Créé compagnon de l'Ordre de Saint-Michel et Saint-George (sir) en 1913 et chevalier du même ordre en 1917. Récipiendaire de la croix militaire de Tchécoslovaquie en 1918. Créé chevalier de l'Ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem en 1941. Commandeur de la Légion d'honneur de France et de l'Ordre de la Couronne de Belgique. Membre de l'Ordre de Saint-Sava de Yougoslavie.

Décédé à Saint-Patrice-de-la-Rivière-du-Loup, le 8 juin 1951, à l'âge de 77 ans et 3 mois. Inhumé dans le cimetière de Rimouski, le 11 juin 1951.

Avait épousé dans la paroisse Notre-Dame de Québec, le 20 mai 1902, Zoé-Mary Stella Taschereau, fille de Jean-Thomas Linière Taschereau, avocat et député à la Chambre des communes de 1884 à 1887, et de Zoé-Mary Alleyn.

Son père fut député à la Chambre des communes de 1872 à 1882, de 1887 à 1891 et en 1896 et en 1897, puis sénateur de 1897 à 1917.