red river 1870 liste dans le livre de napoléon breton en 1912# br 76 au prix de 15,00 $ Canadian très rare
Rivière Rouge (1870) : Le colonel Garnet Wolseley dirigea une expédition jusqu'à Fort Garry. Les troupes quittèrent Toronto le 14 mai et arrivèrent le 24 août à Fort Garry. Ils ont renversé la Rébellion de la rivière Rouge, et ils ont aidé à éviter un raid des Fenians sur Manitoba. .


votre opinion une idée du prix de nos jour serai apprécier merci beaucoup
J AIME PARTAGER MES DECOUVERT J ESPERE QUE VOTRE OEIL SERA RAVIES DE VOIR SES 3 PIECES REUNIS
Dates
La médaille a été autorisée en janvier 1899, vingt-neuf ans après le dernier événement qu'elle commémore.
Nombre
On a décerné en tout 16 668 de ces médailles (dont 15 300 à des unités canadiennes), toujours avec barrette.
voir cette article
http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9bel ... A8re_Rougeet ses info
La rébellion de la rivière Rouge (aussi appelée résistance de la rivière Rouge) est un mouvement qui milite, de 1869 à 1870, pour l'autodétermination nationale des MÉTIS de la COLONIE DE LA RIVIÈRE ROUGE dans ce qu'on appelle maintenant le Manitoba. La colonie se forme après 1836, quand la COMPAGNIE DE LA BAIE D'HUDSON prend en main sa gestion. Les colons sont essentiellement des Métis issus de parents européens et amérindiens. Un peu plus de la moitié sont francophones (MÉTIS); les autres sont anglophones (dits « nés au pays »). Les habitants sont continuellement en conflit avec la compagnie, particulièrement en ce qui concerne les privilèges commerciaux. Dans les années 1850, la Grande-Bretagne, le Canada et les États-Unis contestent la suprématie de la compagnie. Dès les années 1860, elle consent à abandonner son monopole sur le Nord-Ouest, y compris la colonie. Des dispositions sont négociées pour transférer la souveraineté au Canada. Pendant la longue période de négociations, des colons américains et canadiens s'installent, et leurs prétentions sur les terres amènent les Métis à craindre pour leur droits de propriété et la protection de leur culture. Ni le gouvernement britannique ni le gouvernement canadien ne font d'efforts sérieux pour apaiser ces craintes, négociant le transfert de la TERRE DE RUPERT comme si le territoire était inoccupé.
Les inquiétudes des Métis sont exacerbées quand le gouvernement canadien se lance dans de nouveaux arpentages qui ne tiennent pas compte de leurs droits d'occupation. De plus, l'annexionniste canadien William MCDOUGALL est nommé premier lieutenant-gouverneur du territoire. À la fin de 1869, Louis RIEL devient le porte-parole des Métis. Il reconnaît que son peuple doit collaborer avec les Métis anglophones, plus réticents, afin de répondre à leurs plaintes. Alors que les fonctionnaires locaux de la Compagnie de la baie d'Hudson entretiennent une neutralité calculée, l'agitation des Métis, à la fin de 1869, oblige le gouvernement canadien à refuser de reprendre le contrôle du territoire, comme c'était prévu, le 1er décembre 1869. Cela encourage les insurgés de Riel, qui ont déjà interdit à McDougall de pénétrer dans la colonie. Ils s'emparent donc du Upper Fort Garry et luttent contre les partisans du Canada. Des représentants des colons sont convoqués à une convention élue et, en décembre, ils proclament un gouvernement provisoire, dirigé par Riel. En janvier 1870, Riel est appuyé par la plupart des gens « nés au pays » (Métis anglophones) lors d'une deuxième convention, qui accepte de former un gouvernement provisoire représentatif pour négocier avec le Canada les conditions d'entrée du territoire dans laCONFÉDÉRATION.
Des conflits armés persistent au cours de l'hiver, mais Riel semble avoir la situation bien en main jusqu'au moment où il commet l'erreur fatale de faire comparaître en cour martiale un prisonnier, l'orangiste ontarien Thomas SCOTT, qu'il fait exécuter. Bien que les autorités canadiennes soient encore prêtes à traiter avec Riel, elles invoquent plus tard le cas de Scott pour refuser d'accorder aux Métis une amnistie inconditionnelle.
L'assemblée législative du gouvernement provisoire met sur pied l'administration du territoire de l'ASSINIBOIA en mars 1870 et promulgue un code de lois en avril. Bien que le gouvernement canadien reconnaisse les « droits » des colons de la rivière Rouge dans les négociations tenues à Ottawa au printemps, la victoire est mitigée. Une nouvelle province, le Manitoba, est créé par l'ACTE DU MANITOBA. Cependant, son territoire est strictement limité aux vieilles frontières de la colonie, alors que la vaste région du Nord-Ouest reste solidement entre les mains du Canada. Même à l'intérieur du Manitoba, les terres publiques restent sous contrôle fédéral. Les droits de propriété foncière des Métis sont garantis et 607 000 ha sont réservés pour leurs enfants, mais ces dispositions sont mal administrées par les gouvernements fédéraux suivants. La nation MÉTIS ne prospère plus après 1870 au Manitoba. Il n'y a pas d'amnistie pour Louis Riel et ses compagnons, qui doivent fuir avant l'arrivée des troupes britanniques et canadiennes en août 1870. Bien que l'insurrection ait officiellement atteint son principal objectif, soit une province distincte avec des droits territoriaux et culturels garantis, la victoire est trompeuse. Les MÉTIS se trouvent bientôt tellement désavantagés au Manitoba qu'ils déménagent plus à l'ouest, où ils tentent encore d'affirmer leur identité sous Riel dans la RÉBELLION DU NORD-OUEST de 1885.